Dolmen de Peyrelevado (Pierre-Levée). Brantôme. Dordogne (24).
Ce dolmen dit aussi « Camp-de-César » demeure assurément le monument mégalithique le plus connu de Dordogne. Evoqué dès 1818 par F. Jouannet, il est de type angoumoisin (tombes à couloir à chambre quadrangulaire caractérisées par un investissement important du travail de la pierre) mais il ne subsiste plus de ce mégalithe qu’une partie de la chambre funéraire, haute de 2,50 m, vestiges qui se résume à trois montants en calcaires soigneusement bouchardés qui supportent une grande dalle de couverture en grès de 5 m de long sur 2,90 m de large et de 1,40 m d’épaisseur. Par souci de consolidation, à la fin du XIXe siècle, on soulagea les supports d’origine en leur adjoignant un pilier maçonné (non visible sur cette photo), un pilier qui reste peu esthétique au caractère du monument.
La tradition prétend que se sont trois fées ayant pris l’apparence de pastourelles (jeunes bergères) qui auraient soulevé la dalle du dolmen à l’aide de leurs quenouilles (Bâton ou canne de roseau dont l'extrémité supérieure est garnie d'une touffe de matière textile brute de type chanvre, lin, soie, coton, laine destinée à être filée au fuseau ou au rouet).
Ce dolmen dit aussi « Camp-de-César » demeure assurément le monument mégalithique le plus connu de Dordogne. Evoqué dès 1818 par F. Jouannet, il est de type angoumoisin (tombes à couloir à chambre quadrangulaire caractérisées par un investissement important du travail de la pierre) mais il ne subsiste plus de ce mégalithe qu’une partie de la chambre funéraire, haute de 2,50 m, vestiges qui se résume à trois montants en calcaires soigneusement bouchardés qui supportent une grande dalle de couverture en grès de 5 m de long sur 2,90 m de large et de 1,40 m d’épaisseur. Par souci de consolidation, à la fin du XIXe siècle, on soulagea les supports d’origine en leur adjoignant un pilier maçonné (non visible sur cette photo), un pilier qui reste peu esthétique au caractère du monument.
La tradition prétend que se sont trois fées ayant pris l’apparence de pastourelles (jeunes bergères) qui auraient soulevé la dalle du dolmen à l’aide de leurs quenouilles (Bâton ou canne de roseau dont l'extrémité supérieure est garnie d'une touffe de matière textile brute de type chanvre, lin, soie, coton, laine destinée à être filée au fuseau ou au rouet).
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